• Ils ont vécu avant nous !
    En avril, "Ne te découvre pas d'un fil", dit-on, une expression figée et frigorifiée, un dicton, juste une vérité d'expérience, sagesse populaire pratique et bien vraie... même aujourd'hui 1er mai ! Les brins de muguet ont du mal à tenir debout... les vendeurs sont emmitouflés...

     

    Au fil d'avril...

     

    Au fil d'avril...

     

     

     

     

     


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  • Ils recherchent la douceur du climat... ils vont dans les Iles Vierges ou Caïmans, aux Bahamas, à la Barbade, traînent aux îles Cook, Marshall ou Vanuatu, errent aux Maldives, aux Seychelles, au Panama... L'ensoleillement y est quasi permanent, le climat tempéré, rafraîchi par les alizés...
    Mais ces îles ou pays ont d'autres atouts, surtout si dans ses bagages on a pris la peine de bien remplir une mallette... de billets de banque. Le climat fiscal est, dans ces paradis, de surcroît, si bienveillant !
    Rien d'illégal dans tout ça me direz-vous, mais la fraude est bien là pour la plupart de ces insatiables aventuriers, car l'argent, lui, n'est pas censé s'évader sous des cocotiers lointains, sous les cocotiers de ces paradis fiscaux, quitter son pays, sans avoir été pris en compte par quelqu' ennuyeux service des impôts !

    Mais à qui profite la combine ?

    Premières utilisatrices des paradis fiscaux : les banques ; premiers profiteurs : les banksters !
    Les plus grands groupes bancaires ont une bonne partie de leurs filiales dans ces territoires dits opaques, "bas-fonds de la finance internationale".
    La Société Générale a créé près de 1000 sociétés offshore par l'intermédiaire du cabinet panaméen épinglé (elle avait pourtant promis de ne plus s'implanter dans ces contrées douteuses) ; les banques HSBC, UBS, Crédit Suisse, pour ne citer que les plus grandes, sont impliquées de façon plus importante, et elles sont déjà poursuivies dans d'autres scandales de fraude fiscale.

    Les uns cherchent à dissimuler leurs avoirs, les autres les font fructifier. Les paradis fiscaux sont bien implantés sous les cocotiers mais pas seulement, également dans la plupart de nos grandes cités de la finance telles le Luxembourg, Hong-Kong, Singapour..

    De nos cités aux cocotiers, magots et magouilles...

     

     

     

     

     

    De nos cités aux cocotiers, magots et magouilles...

     

     

     

     

     

     

     De nos cités aux cocotiers, magots et magouilles...

     

    Depuis bien des temps, les banquiers manigancent, pour plus de profit, au détriment des Etats. Il y a bien un semblant de lutte, mais nos gouvernants ne sont que pots de terre. "Il n’a pas de nom, pas de visage, pas de parti, il ne présentera jamais sa candidature, il ne sera donc pas élu, et pourtant il gouverne. Cet adversaire, c’est le monde de la finance." disait notre président actuel lors de sa campagne...
    2000 ans avant J-C., des activités de type bancaire (locations de coffres, prêts sur gages) exercées par des commerçants, sont pratiquées en Mésopotamie (l'Irak actuel) ; ces activités prenant une telle importance, Hammourabi, roi de Babylone, édicte une loi bancaire pour les encadrer !

    C'est perpétuellement qu'elles auront besoin de recadrage !

    Le banquier, fondateur de la dynastie des Rothschild (prénommé Mayer Amschel, 1744-1812), déclarait " Permettez-moi d’émettre et de contrôler les ressources monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois." ; on ne peut plus clair !
    Chez nous, déjà (1769-1821), et avec autant de succès que notre président, Napoléon Bonaparte disait des financiers :
    " Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain."
    Le constructeur automobile américain Henry Ford (1863-1947), montrait bien l'impuissance des gouvernants face au monde de la finance :
    "
     Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain."
    " La jeunesse qui pourra résoudre la question monétaire fera plus pour le monde que toutes les armées de l'histoire."

    Il faut que cette impunité cesse ! Jusqu'à quand vont-ils se payer notre tête ?
    Peut-être pas avant demain, mais cette révolution prédite et souhaitée, il faudra bien l'envisager une bonne fois pour toutes !
    Madame la baronne Ariane de Rothschild, vous vous en rappellerez de cette mésaventure, vous vous êtes retrouvée en bien mauvaise posture ; heureusement qu'un de vos escorteurs avisé , vous a soustrait des griffes de la journaliste Elise Lucet ! "Madame, vous êtes intouchable" vous a-t-il dit, vous frayant un passage dans des couloirs encombrés, apeurée que vous étiez...
    Non, madame la baronne, vous n'êtes pas intouchable, quand bien même vous seriez marquise voire reine ; tout comme le plus puissant cartel jamais organisé et dont vous faîtes partie, celui de  de la finance.

    De nos cités aux cocotiers, magots et magouilles...


    Beau travail, mesdames, messieurs les journalistes ; merci de nous révéler ce que certains aimeraient cacher !

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • La pub a envahi mon blog, à "l'insu de mon plein gré" !

    Je présente toutes mes excuses aux lecteurs de "De bric et de broc" qui découvrent sur mes pages un anarchique, envahissant, inesthétique et incongru étalage de publicités, comme je viens de le constater, avec peut-être un peu beaucoup trop de retard.

    J'ai adhéré à cette plateforme, en janvier 2012 ; je l'ai soutenue quand elle a demandé de l'aide ; elle aura résisté au démon de la publicité, un peu, puis plouf, comme beaucoup ! Question de survie...

    Dommage...

    Merci Ekla pour avant la pub !

     

    A mon grand regret...


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  • Ta Une est pitoyable ; Charlie où t'es ?

    Où t'es Charlie, où t'es ?

    T'as meurtri un peu plus la Belgique, t'es lourd ; t'es fooort minable !

    T'es piiitoyable !

    Une, fort minable !


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  • Laisse béton

    Tu fais fausse route, tu dérapes ; es-tu bien sûr de tenir debout !
                            Miss Maggie, OK ; mais Jean-Jacques !!!
    Va chez la mère à Titi, elle est où ta Lola ; c'est sûrement pas ce qu'elles te conseillent ; elles ne peuvent plus être morganes de toi ! Là, tu vas te positionner 501 ème sur la ligne d'arrivée...
    Retour perdant Mister Renard, t'es qu'un fantôme si tu vas par là !

    Laisse béton

     

     


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