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Par Caryboc dans Etats de mon âme le 7 Février 2012 à 19:00...Phidippidès qui court porter la bonne nouvelle, tu chantes, tu nous enchantes, jusqu'à en perdre le souffle. Tes révolutions sont permanentes . Et pendant que je rêvais , pendant que je bûchais, pendant que les aiguilles tournaient , l'étudiant que j'étais, dans sa chambre à la Cité...