• Reprendre mon courage à deux mains, délaisser ma flemme dans un coin du canapé, avancer le clavier et poursuivre ce récit avant que l'heure ne me gagne...

    "Hâtez-vous lentement et, sans perdre courage,
    Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage :
    Polissez-le sans cesse et le repolissez..."

    Dans sa citation d'origine, Boileau parlait de "l'ouvrage" au sens de l'écriture, du livre.

    Il est vraiment temps cette fois, papa, de la graver ton histoire.

    Pardon pour cette longue attente.

     

    Il est vraiment temps...


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  • Vous souhaitant déjà qu'elle ne soit pas pire que 2022, surtout qu'elle vous préserve !

    Quand je m'endors, c'est dans le sombre et l'angoisse ; quand je me réveille, c'est dans la lumière, c'est dans la joie...

     

     


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  • Et quoi qu'il en soit, et sans esquive possible cette fois ; quand l'heure des comptes sonnera !

    Il poursuit ses éradications ; déjà à Alep en 2016 (je réagissais alors "Acculé que tu es...", pour dénoncer ses massacres perpétrés avec son ami syrien), celle-ci, a lieu cette fois, dans un pays frère, tenant donc du génocide de sa propre fratrie.

    Je ne puis retenir ma conscience ; c'est le moins que je puisse faire...

    Comme il désinforme, comme il musèle son peuple et lui ment, comme il inonde de sa propagande, comme il s'est attribué tous les pouvoirs, il est un despote doublé d'un va-t-en-guerre dont on ne pouvait pas ne pas prévoir ses fins.
    Ses délires paranoïaques n'épargneront rien, ni personne, sur le territoire ukrainien, au nom de la "continuité territoriale", de la reconstitution de la Russie impériale qui l'obsède et qu'il projette depuis son arrivée au pouvoir, pouvoir qu'il s'est octroyé et qu'il imposera jusqu'à perpète afin de parachever sa triste tâche.
    Il n'a trompé personne quant à ses objectifs, il poursuit ses crimes après ses exactions sur la Géorgie, sur le Donbass, après l'annexion de la Crimée. Il lui faut s'accaparer toutes les côtes Nord (jusqu'à Odessa) de la Mer Noire et de la Mer d'Azov (Marioupol pilonnée est en train d'être rasée !) pour refermer ses lourdes tenailles entre le sud et le nord de l'Ukraine et enfin terminer avec la capitale Kiev et son Président... (pour cela, il fallait annexer auparavant la Crimée, chose faîte dès 2014...).
    Que laissera-t-il de Kiev, que restera-t-il de l'Ukraine face à cette froideur inhumaine, à ce cynisme glacial ?

    Ses bombes destructives et assassines ont déjà fait fuir hors de leurs habitations une dizaine de millions de civils ukrainiens ; plus de trois millions de personnes ont quitté l'Ukraine dont pratiquement un million et demi d'enfants.
    Mais malgré ces crimes, ces atrocités, ces larmes qui croulent sur nos écrans, l'Ukraine n'est pas la proie facile qu'il escomptait, l'Ukraine résiste et son Président n'a pas fui à l'apparition des premiers chars, l'Ukraine se défend !
    Mais peu lui importent ruines, désolations et misères, il sera capable de raser l'Ukraine si bon lui semble. Lui resteront entre les mains les minerais d'uranium, de titane, de manganèse, de fer, de mercure, le gaz de schiste, le charbon, la plus grande surface de terres arables d'Europe, la production agricole, l'industrie florissante ; et oui, l'Ukraine est une manne !

    Mais un peu de peuple Russe informé et touché, et un peu de Kremlin excédé, suffiront-ils pour freiner ses crimes ?

    Et comme d'entrée, il a brandi la menace de l'arme fatale et la maintient bien au chaud, le monde reste coi, suffoqué, apeuré, constatant ses bombardements sur un pays déjà à feu et à sang, si près...

    Et cette Organisation des Nations Unies de pacotille qui permet au pays agresseur -qu'elle vient de condamner quasi unanimement- de se dédouaner lui-même s'il appose son droit de véto ! La Russie est condamnée pour son agression mais du fait qu'elle oppose son véto, elle ne l'est plus !!! Là, on est au-delà des limites de la compréhension humaine, on est pourtant à l'ONU dont la charte indique en préambule :

    NOUS, PEUPLES DES NATIONS UNIES RÉSOLUS,

    • à préserver les générations futures du fléau de la guerre qui deux fois en l'espace d'une vie humaine a infligé à l'humanité d'indicibles souffrances,
    • à proclamer à nouveau notre foi dans les droits fondamentaux de l'homme, dans la dignité et la valeur de la personne humaine, dans l'égalité de droits des hommes et des femmes, ainsi que des nations, grandes et petites,
    • à créer les conditions nécessaires au maintien de la justice et du respect des obligations nées des traités et autres sources du droit international,
    • à favoriser le progrès social et instaurer de meilleures conditions de vie dans une liberté plus grande,

    ET À CES FINS

    • à pratiquer la tolérance, à vivre en paix l'un avec l'autre dans un esprit de bon voisinage,
    • à unir nos forces pour maintenir la paix et la sécurité internationales,
    • à accepter des principes et instituer des méthodes garantissant qu'il ne sera pas fait usage de la force des armes, sauf dans l'intérêt commun,
    • à recourir aux institutions internationales pour favoriser le progrès économique et social de tous les peuples,

    AVONS DÉCIDÉ D'ASSOCIER NOS EFFORTS POUR RÉALISER CES DESSEINS

    • en conséquence, nos gouvernements respectifs, par l'intermédiaire de leurs représentants, réunis en la ville de San Francisco, et munis de pleins pouvoirs reconnus en bonne et due forme, ont adopté la présente Charte des Nations Unies et établissent par les présentes une organisation internationale qui prendra le nom de Nations Unies.

     

    Et quand comprendra-t-on que le pouvoir laissé entre les mains d'un seul homme est ineptie et ne peut être que ruine de nos sociétés ? L'Histoire nous a pourtant fourni assez d'exemples ; et dans l'horreur, nous, humains, sommes capables toujours de montrer davantage !

    Il lui faudra rendre des comptes et payer, parce que, de quelque façon que ce soit, l'heure du jugement viendra.
    Disons-le, clamons-le, haut et fort, pour que le peuple russe finisse par prendre conscience de la réalité de ce massacre prémédité, malgré une propagande politique, une intox totale et un mensonge à outrance qui lui masquent la vérité et le terrible sort d'une population innocente que ce tyran est prêt à exterminer.

     

    Acculé, il finira !


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  • Elle peut tuer, ce n'est pas votre problème ! Vous ne comprenez pas les mesures de protection prises par les autorités de tous domaines pour essayer de limiter les dégâts, vous ne les admettez pas, et de plus vous les dénoncez, en profitant de votre position, mais de quel droit ! Je n'ai pas, vous n'avez pas la science infuse. Pour vous M. Ruquier, comme d'autres, "La valeur de la vie tiendrait plus à sa substance qu'à sa longueur". Donc vous ne voulez souffrir d'aucune contrainte.
    Pour vous, comme d'autres, privilégiés que vous êtes, votre petit confort, votre tranquillité ne doivent pas être revus à la baisse.

    Alors, vous essayez de prouver que tout va bien en vous complaisant devant ce tableau que vous affichez sur petit et grand écran... en déclarant que la situation n'est pas du tout si catastrophique, qu'il n'y a pas lieu de s'inquiéter, au vu des taux faramineux et encourageants qui y figurent.

    Présenté ainsi, c'est masquer la vérité !

    Ces taux, dans tous les pays, sont au-delà de 99,9% (99,965 en France, ça en impose, c'est effarant !!!) et vous en déduisez, puisqu'ils représentent le pourcentage de survivants à cette pandémie, que contrairement aux sommités en épidémiologie, infectiologie, contrairement aux autorités sanitaires nationales et internationales, contrairement aux autorités de l'Etat, contrairement aux Etats qui peuplent la planète, que la situation n'a absolument rien d'inquiétant, qu'elle n'est pas du tout exceptionnelle !
    Privilégiés que vous êtes, M. Ruquier et consorts, vous vous confortez avec cette série de 9,9,9, ces gros pourcentages qui vous ravissent et qui vous font dire : "Mais vous vous rendez compte du nombre de survivants comparativement à ces infinitésimales pertes !"

    M. Ruquier, la France compte 67 millions de Français et il n'en demeure pas moins qu'en ce jour 12 janvier 2021, la pandémie a tué 68 802 personnes (soit un peu plus que le petit nombre de 0,035 que vous mettez en avant pour la relativiser). Elle a contaminé plus de 2 806 000 Français, elle laisse parfois des séquelles parmi ceux qui s'en remettent, elle laisse la désolation dans des milliers de famille.
    La covid-19 entraîne 3 fois plus de décès à l'hôpital que la grippe saisonnière. Aujourd'hui encore, la covid-19 contamine 20 000 personnes par jour en France, et tous les jours des mesures sont prises pour essayer d'enrayer, ou tout du moins de tenter de freiner la progression du virus qui plus est évolue en devenant plus dangereux parce que se propageant plus rapidement.
    Mais vous me direz que toutefois jusqu'à maintenant, 99,965 % de la population a survécu !

    Que fait-on plutôt que de réagir, on laisse proliférer... ? L'avance au score est confortable vous dîtes...

    Je regarde la situation d'un autre point de vue que le vôtre. Et le vôtre m'a fait sortir de mes gonds, alors que je laissais "les états de mon âme" de ce blog à l'abandon.
    Merci de m'avoir sorti de ma somnolence.

     

    Rien à faire de cette pandémie !

     

     

     


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  • Passants qui passez lire mes pages, que 2019 soit une bonne année pour vous ; profitez de ces tout petits plaisirs de-ci de-là et essayez d'accrocher les plus grands... Bonne réussite !

    Je vous renouvelle mes excuses pour mes pages maintenant maculées, pour ces souillures qui ne m'incitent pas à y glisser quelque texte. Mais je trouverai... le bon chemin.

    Bien à vous !

     

    2019


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