• Benoît, Jean-Luc, une alliance aurait été possible, voire même souhaitable vu vos espoirs de score chacun d'entre vous, en-dessous des mieux placés dans la course ; de vos tergiversations et de votre désaccord ressortiront deux corbillards... Personne bien évidemment ne veut céder la place, aucun n'aura le titre. Vous en assumerez seuls la responsabilité !

    Emmanuel, si jeune, bien impétueux, pourtant bien placé toi, avant la ligne d'arrivée ; il faut de la modération en tout et notamment en matière de propos par trop excessifs, ça peut jouer de vilains tours...

    François, de lourds grelots tintinnabulent sur ton passage ; il ne suffira pas de faire la sourde oreille, d'espérer une absolution par le suffrage des électeurs pour passer au travers en toute légalité. Chantre inattendu de la droite à la confortable avance, la victoire a dû te sembler proche ! Mais tu me parais bien embourbé !

    Marine, bien qu'apparue subrepticement il y a peu sur les pages de mon blog à la faveur d'Ekla et de sa pub imposée et incongrue, et à mon grand dam, pourquoi insistes-tu ? Tu n'y parviendras jamais à cette victoire, tant et depuis si longtemps convoitée par les tiens. Toi aussi tu en trimballes, des casseroles... France pas du tout apaisée, contrairement à ce que tu affiches ! Horreur, malheur...!

    Et toi, François le presque pyrénéen, t'y vas, t'y vas pas ? Sera-ce toi qui viendra te positionner à l'avant de ce peloton ? L'endurance, l'expérience de ce drôle de macadam, tu les as. Mais tu viens de la trouver la solution, pour sortir la tête haute de ce critérium que tu ne risquais pas, loin s'en faut, de remporter. Tu ne brigueras pas une fois de trop. Tu viens de conforter les chances d'Emmanuel en lui proposant une alliance. Du panache, dit-on...

    Quant à toi, Michèle (dite MAM : Médiocrité Affairisme Mépris), tu n'as vraiment pas honte ! Voilà que tu essayes de te recaser ! Là, où il y a scrupule, il n'y a pas de plaisir, nous diras-tu !
    Mais que va-t-on pouvoir faire d'un engin pareil ? On croyait pourtant tous s'être débarrassés d'un si gros boulet ! MAM (Mensonges Après Mensonges), MAM dégage ! (Ça ne te rappelle rien ces qualificatifs que t'appliquait le sympathique humoriste François Morel ?)

    Et vous, tous les autres (le peloton est gros), jeunes et vieux loups aux crocs de lait qui avez eu votre bon de sortie, vous allez former le gruppetto loin derrière, vous aurez du mal à boucher le trou car ils sont devant et le trajet est casse-pattes, aucune chance pour l'emballage final !

     

    Envoyons le bon, mais lequel ?


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  • Acculé que tu es, tu en as usé et abusé de ton droit de véto (mais qu'attend-on pour le supprimer celui-là ?) !
    Aujourd'hui, le moins que pouvait faire la Communauté internationale devant ces massacres perpétrés à Alep, c'était de permettre l'évacuation des derniers civils pris au piège dans ce qu'il reste de cette ville pilonnée, pratiquement rasée.
    Acculé que tu es, tu as fini par ne pas l'opposer ton véto ; tu as dû renoncer à ton acharnement à vouloir l'éradication des opposants de ton ami Al-Assad (à aller les "buter jusque dans les chiottes", je te cite, quand tu parlais de tes opposants tchétchènes) ; tes exactions devenant trop notoires aux yeux du monde, enfin !
    Le Conseil de Sécurité a voté le déploiement d'observateurs à Alep pour permettre une évacuation sans massacre et une assistance humanitaire... avec ton assentiment à reculons. Cette fois le dodelinement de la tête n'a pas été celui du "niet"...
    Et tout acculé que tu es, tu poses encore tes conditions...

     

    Acculé que tu es...


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  • Un ancien président rejeté, insultant, qui persiste malgré tout, et qui, d'entrée, se fait bel et bien éjecter...
    Un antédiluvien premier ministre, exilé un temps, qui n'a pas saisi son impopularité, qui espère encore, lui aussi, et qui dans un deuxième tour s'en prend une également, pas piquée des vers...
    Tous deux ont pris leurs cliques et leurs claques, deux camouflets prévisibles et mérités.

    Un troisième, déjà vu aussi, "collaborateur" en son temps du premier, qui y croit ferme, adepte de la touche "suppr.", et qui grille la politesse aux deux favoris !

    Et puis un président, un vrai, le seul lucide et digne ; lui, au bout de presque cinq années ne souhaite pas renouveler son mandat ; alors les hyènes rappliquent, s'attroupent, ricanent... Après des années de traque où ils n'ont eu de cesse de le harceler, journaleux et politicards, les pieds dans les merdias, éructent à tout va !

    Et là, aujourd'hui, un courageux (ou un téméraire) qui annonce sa candidature, il va déranger d'autres candidats déjà en route pour ces nouvelles primaires, c'est déjà le haro. Rude tâche pour lui que de rassembler les brebis égarées !
    Là aussi, claques prévisibles...

    Bon courage à vous, candidats en lice !

     

    Primaires !

    Quant à nous ? Envoyons le bon !


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  • J'ai vu à nouveau d'épaisses et immondes fumées noires s'élever du macadam vers le ciel...
    J'ai vu tout autour, non plus des tracteurs, mais de lourds camions ; j'ai surtout vu, tout autour, des blousons ainsi que des gilets rouges (pas encore noirs), de gros ballons, des drapeaux tout aussi rouges, affublés de trois lettres : le C, le G et le T. Je n'ai pas vu par contre leurs affiches sanguinolentes, odieusement rouges !
    Cette loi sur le travail, un besoin, d'accord ; mais pas à n'importe quel prix ! Réduire, de 50% ou 25% à seulement 10% le bonus pour les heures supplémentaires, est-il véridiquement prévu dans cette loi ? Cette loi engendre-t-elle réellement une perte de salaire pour cette profession ? Si oui, crions l'injustice !
    Grève justifiée ou grève de solidarité ?
    "Je comprends les colères mais de grâce, rejetez ces variantes du terrorisme. Elles rendent odieuses les causes dont elles se réclament et vont totalement à l'encontre du but recherché, et vous feront passer pour des voyous.", disais-je lors des manifs paysannes de février... devant la prolifération de pneus enflammés. Aujourd'hui, ce sont les routiers...

    Ciel, des pneus qui brûlent !

    Mais ces fumées noires...


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  • Ils recherchent la douceur du climat... ils vont dans les Iles Vierges ou Caïmans, aux Bahamas, à la Barbade, traînent aux îles Cook, Marshall ou Vanuatu, errent aux Maldives, aux Seychelles, au Panama... L'ensoleillement y est quasi permanent, le climat tempéré, rafraîchi par les alizés...
    Mais ces îles ou pays ont d'autres atouts, surtout si dans ses bagages on a pris la peine de bien remplir une mallette... de billets de banque. Le climat fiscal est, dans ces paradis, de surcroît, si bienveillant !
    Rien d'illégal dans tout ça me direz-vous, mais la fraude est bien là pour la plupart de ces insatiables aventuriers, car l'argent, lui, n'est pas censé s'évader sous des cocotiers lointains, sous les cocotiers de ces paradis fiscaux, quitter son pays, sans avoir été pris en compte par quelqu' ennuyeux service des impôts !

    Mais à qui profite la combine ?

    Premières utilisatrices des paradis fiscaux : les banques ; premiers profiteurs : les banksters !
    Les plus grands groupes bancaires ont une bonne partie de leurs filiales dans ces territoires dits opaques, "bas-fonds de la finance internationale".
    La Société Générale a créé près de 1000 sociétés offshore par l'intermédiaire du cabinet panaméen épinglé (elle avait pourtant promis de ne plus s'implanter dans ces contrées douteuses) ; les banques HSBC, UBS, Crédit Suisse, pour ne citer que les plus grandes, sont impliquées de façon plus importante, et elles sont déjà poursuivies dans d'autres scandales de fraude fiscale.

    Les uns cherchent à dissimuler leurs avoirs, les autres les font fructifier. Les paradis fiscaux sont bien implantés sous les cocotiers mais pas seulement, également dans la plupart de nos grandes cités de la finance telles le Luxembourg, Hong-Kong, Singapour..

    De nos cités aux cocotiers, magots et magouilles...

     

     

     

     

     

    De nos cités aux cocotiers, magots et magouilles...

     

     

     

     

     

     

     De nos cités aux cocotiers, magots et magouilles...

     

    Depuis bien des temps, les banquiers manigancent, pour plus de profit, au détriment des Etats. Il y a bien un semblant de lutte, mais nos gouvernants ne sont que pots de terre. "Il n’a pas de nom, pas de visage, pas de parti, il ne présentera jamais sa candidature, il ne sera donc pas élu, et pourtant il gouverne. Cet adversaire, c’est le monde de la finance." disait notre président actuel lors de sa campagne...
    2000 ans avant J-C., des activités de type bancaire (locations de coffres, prêts sur gages) exercées par des commerçants, sont pratiquées en Mésopotamie (l'Irak actuel) ; ces activités prenant une telle importance, Hammourabi, roi de Babylone, édicte une loi bancaire pour les encadrer !

    C'est perpétuellement qu'elles auront besoin de recadrage !

    Le banquier, fondateur de la dynastie des Rothschild (prénommé Mayer Amschel, 1744-1812), déclarait " Permettez-moi d’émettre et de contrôler les ressources monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois." ; on ne peut plus clair !
    Chez nous, déjà (1769-1821), et avec autant de succès que notre président, Napoléon Bonaparte disait des financiers :
    " Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit. […] L’argent n’a pas de patrie ; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence ; leur unique objectif est le gain."
    Le constructeur automobile américain Henry Ford (1863-1947), montrait bien l'impuissance des gouvernants face au monde de la finance :
    "
     Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain."
    " La jeunesse qui pourra résoudre la question monétaire fera plus pour le monde que toutes les armées de l'histoire."

    Il faut que cette impunité cesse ! Jusqu'à quand vont-ils se payer notre tête ?
    Peut-être pas avant demain, mais cette révolution prédite et souhaitée, il faudra bien l'envisager une bonne fois pour toutes !
    Madame la baronne Ariane de Rothschild, vous vous en rappellerez de cette mésaventure, vous vous êtes retrouvée en bien mauvaise posture ; heureusement qu'un de vos escorteurs avisé , vous a soustrait des griffes de la journaliste Elise Lucet ! "Madame, vous êtes intouchable" vous a-t-il dit, vous frayant un passage dans des couloirs encombrés, apeurée que vous étiez...
    Non, madame la baronne, vous n'êtes pas intouchable, quand bien même vous seriez marquise voire reine ; tout comme le plus puissant cartel jamais organisé et dont vous faîtes partie, celui de  de la finance.

    De nos cités aux cocotiers, magots et magouilles...


    Beau travail, mesdames, messieurs les journalistes ; merci de nous révéler ce que certains aimeraient cacher !

     

     

     

     

     

     

     

     


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