• Je ne vais pas encore laisser passer un été sans vous parler de moi ! Mais qui suis-je ?

    Je suis de sang noble : je suis Dicotylédone de la lignée des Cucurbitacées, les gens savants me nomment Citrullus Lanatus. Pour vous aider, je suis une plante herbacée originaire d'Afrique ; on me cultive pour mes gros fruits lisses verts ou marbrés à chair rouge, jaune, verdâtre ou blanche et à graines noires (rouges quelquefois).

     Il faut que je vous parle de moi !

     

    Mon fruit porte mon nom et contient jusqu'à 93 % d'eau !

    Il possède un goût rafraîchissant qui désaltère. C'est la saison chaude, il vous assure un apport hydrique précieux dans un premier temps. Dans un deuxième temps éventuellement, il est un gros atout en cas d'infection urinaire, il raccourcit vos "calculs", car sa pulpe juteuse est particulièrement diurétique et favorise l'élimination. Et même pour ceux dont les intestins sont fragiles, il peut être dégusté à volonté car ne contient que très peu de fibres.

    Il faut que je vous parle de moi !

    Inoffensif pour votre ligne, sachez :

     - sa tranche de 100 grammes ne fournit que 30 kcal (moins que les fraises et les framboises par exemple),

     - il est parmi les fruits les moins riches en sucre (6 grammes pour 100 g ; seul le citron avec 3 grammes pour 100 g en contient moins) ;

    il est donc l'ami de tous vos régimes malgré son goût toutefois assez sucré ; à consommer sans culpabiliser (pour les scientifiques, cela tient à la nature de ses glucides : saccharose et fructose abondants et peu de glucose) !

    Il faut que je vous parle de moi !

    Il prévient certaines maladies grâce au lycopène qu'il contient et qui est à l'origine de sa couleur rouge. Ce puissant antioxydant (on le trouve aussi chez sa cousine la tomate) a la propriété de réduire les risques de maladies cardio-vasculaires et de cancers, notamment ceux de la prostate, du sein, du poumon. Le lycopène a des effets bénéfiques sur votre vision, il prévient la cataracte et la dégénérescence maculaire liée à l'âge. Il est aussi vertueux pour votre peau en la protégeant des rayons UV.                                                           Mieux encore, mon fruit contient des vitamines A et C antioxydantes qui décuplent les effets du lycopène contre le vieillissement prématuré et les cancers.

    Il faut que je vous parle de moi !

    Il est une source extraordinaire de vitamines :

     - la vitamine C antifatigue (11 mg pour 100 g),

     - des vitamines du groupe B qui participent à la bonne marche de l'organisme, dont les B1 et B6 qui assurent le renouvellement de vos cellules,

     - la vitamine A cicatrisante et antioxydante.

    Il faut que je vous parle de moi !

    Il est riche en minéraux :

     - plus de 100 mg de potassium pour 100 g,

     - avec 10 mg de magnésium, de petites quantités de calcium, de phosphore,

     - ainsi que plusieurs oligoéléments dont le fer, le zinc, le cuivre, le manganèse et d'autres... Ils sont tous très importants pour éviter la déminéralisation lorsque vous transpirez l'été, surtout si vous faîtes beaucoup de vélo...

    Il faut que je vous parle de moi !

    Cerise sur mon fruit : ce sont les conclusions de chercheurs d'une Université du Texas ; il contient de la citrulline et de l'arginine, acides aminés qui, en favorisant la dilatation des vaisseaux sanguins, soutiennent la fonction érectile ! Et pas besoin d'ordonnance !

    Il faut que je vous parle de moi !

    Quand aux pépins de mon fruit, que les uns les crachent ou que les autres les retirent délicatement, sachez que chez moi, on ne jette rien ! Source de protéines, ils sont une mine de bienfaits pour la santé, notamment pour les végétariens et les végétaliens souvent en carence de ce nutriment. En Inde, on en fait une farine pour le pain, en Afrique on en extrait une huile...

     Il faut que je vous parle de moi !

     

    N'attendez-pas un été supplémentaire ; n'hésitez plus, mangez-moi, savourez-moi bien fraîche ; gorgée de soleil, je vais vous surprendre !

       

    Il faut que je vous parle de moi !

    Dicotylédone Cucurbitacée

    avec l'aide de mon scribe qui m'a déclaré manger de la pastèque depuis qu'il est né et qui s'est souvenu d'un élogieux article qui me vantait déjà, avant que je ne me refasse faire le bilan exhaustif ci-dessus ! Et qui sait, d'autres études pourraient révéler de nouveaux bienfaits...

     

    Cet été, mangez-moi ou mangeons de la pastèque !

    Mon cœur est sain.

     

    Cet été, mangez-moi ou mangeons de la pastèque !

     On peut me mettre en valeur, au gré de sa fantaisie !


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  •  Avenida Andalucía

     

    Petit topo, de retour de notre parcours andalou ; après vous avoir mis l'eau à la bouche, je ne peux vous laisser sur votre faim !

     Avenida Andalucía

     

     Avenida Andalucía

    Premier jour : c'est parti pour se réimprégner d'Andalousie, la découvrir aussi.

    Torremolinos, juste pour y coucher, zen.

      Avenida Andalucía

    Au sortir de la ville, des éléphants nous regardent. Nous n'avons pourtant pas fumé... ("La fumée dans les yeux, un éléphant me regarde. J'ai la tête qui part.")

     Avenida Andalucía 

    Ce ne sera pas sur quatre pattes ou en deux roues, ce sera pedibus jambus que nous visiterons Mijas.

    Avenida Andalucía

     

     Avenida AndalucíaAvenida Andalucía

     

     

     

     

     

     

    Pour ce qui est des 2 euros la photo, je découvre ça en même temps que vous   !  A Mijas, les bourricots ont le sens des affaires, qui l'eût crû ?

     

      Avenida AndalucíaAvenida Andalucía

     

     

     

     

     

     

    On a progressé, ça n'est plus que l'eau à la bouche... La Butibamba, auberge recommandée par un jeune espagnol émigré (et oui, encore de nos jours !) du côté de Martigues ; un restaurant authentique et une des meilleures échines de porc en marinade de la région, voire d'Espagne, selon Francis le patron à la Cala de Mijas.

      Avenida Andalucía

     Avenida Andalucía

    En même temps que nous, les Simpson en vacances, à Sabinillas ! Il faut quitter l'Autovia, après Estepona. Plage bien entretenue, bordée de palmiers, des barques de pêche sur le sable...

      Avenida Andalucía

     Avenida Andalucía

    Le rocher de Gibraltar, (après une frontière et deux douanes !) ; on ne serait plus en Espagne ! Mais que font donc, perchés sur ce rocher, ces quelques macaques égarés ; à ce qu'il paraît, ils deviendraient agressifs !

     Avenida Andalucía

     Avenida Andalucía

    Rentrons vite en Espagne, Algeciras est proche et triste depuis février ; une chaise, une guitare et un grand guitariste Paco de Lucia, sa guitare flamenca restera...

     Avenida Andalucía

     Avenida Andalucía

    Tarifa, Plazuela del Viento, après déjeuner, petit moment de détente avant de reprendre la route. Point le plus méridional de l'Europe, la côte africaine est à seulement onze kilomètres.

    Le vent, un atout pour le tourisme ; on vient du monde entier pour les sports de vent, notamment pour le kitesurf (planche volante). Les éoliennes prolifèrent sur les collines alentour.

    Avenida Andalucía 

     Avenida AndalucíaAvenida Andalucía

     

     

     

     

     

     

    Plaza de los Pescaítos, sa fontaine ; petit détour par Vejer de la Frontera, en allant vers Cádiz.

    L'océan n'est pas très loin de ce piton marqué par l'invasion napoléonienne et d'un certain coup de Trafalgar. Trafalgar, Gibraltar, gare aux Anglais !

     Avenida Andalucía

     Avenida Andalucía

    Cádiz rend hommage à Manuel de Falla.

     

    Avenida AndalucíaAvenida Andalucía

     

     

     

     


     

     

     Il se dit que Cádiz a des couleurs de La Havane, on la surnomme Habanita, la caraïbe ; résultat du flux constant entre cette ville et le Nouveau Monde, du temps de Colomb.

     

     Avenida Andalucía

    Nous logeons à Puerto de Santa Maria, plus petite ville, de l'autre côté de la baie ; trente minutes de traversée, histoire de nous prendre pour de grands navigateurs !

    Les caravelles de Christophe Colomb appareillaient d'ici aussi ! Et c'est ici que Juan de la Cosa (les voyages forment la jeunesse et les retraités, entre autres) réalisa la première mappemonde (an 1500) faisant figurer le Nouveau Monde.

     Avenida Andalucía

     Avenida Andalucía

     

    On se perd en rentrant dans Ronda, rues sans dessus-dessous, une pendaison en direct ! C'est samedi, c'est le week-end de la Real Feria.

     

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    Du beau monde dans les rues, et partout, je mitraille...

     

    Avenida AndalucíaAvenida Andalucía

     

     

     

     

     

     

     

    Ronda au cœur de l'Andalousie.

    Avenida Andalucía

    Avenida AndalucíaAvenida Andalucía

     

     

     

     

     

     Biquette endimanchée, plaza de Castilla à Antequera, sur la route de Granada.

     Avenida Andalucía

     Avenida Andalucía

    Loja, après la pluie, courte étape entre Ronda et Granada ; je crois qu'on est seul dans cet hôtel qui surplombe la ville.

     Avenida Andalucía

     Avenida AndalucíaAvenida Andalucía

     

     

     

     

     

     

    Au pied de l'Alhambra, des lampes turques... en cette première de nos trois soirées, ici à Grenade.

     

     Avenida Andalucía

    Le Palais du Generalife (jardin de l'architecte), pour commencer la visite ; cette fois, on commence par le haut.

     Avenida AndalucíaAvenida Andalucía

     

     

     

     

     

     

    Les Palais Nasrides, le Patio de los Leones et mille merveilles... Il aura fallu prendre rendez-vous, à une heure bien précise, plusieurs mois avant, pour cette visite ; et après l'heure, ce n'est plus l'heure, pour les décontractés...

     Avenida Andalucía

    Les vitraux du plafond colorent la lumière qui les traverse, celle-ci les reproduit sur le stuc sculpté.

    Avenida AndalucíaAvenida Andalucía

     

     

     

     

     

     

     

     

    Dans l'Albayzin, on se colle aux murs et à leur ombre ; mais à chaque détour de ruelle, on découvre un nouveau tableau !

    On ne se lasse pas de Grenade. On en repart toujours trop vite...

     Avenida Andalucía

     Avenida AndalucíaAvenida Andalucía

     

     

     

     

     

    Aujourd'hui, la plus longue étape (pour rallier Mojacar, on revient vers la côte), par Guadix et ses maisons troglodytes.

     

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    En plein désert de Tabernas, on a planté des oliviers, à perte de vue...

     

     Avenida Andalucía

    Bédar, petit village de l'arrière pays. Si ma grand-mère voyait tous ces "british" désœuvrés occuper les lieux !

     Avenida Andalucía

     Avenida Andalucía

    Et on arrive à Mojacar ; un ascenseur nous monte du parking municipal au centre ville, pratiquement au pied de notre hôtel ! Le patron du Arco Plaza à qui je raconte qu'on vient de Bédar (village natal de ma grand-mère), nous offre sa chambre la plus grande, à la place de celle prévue qu'il juge étriquée.

    Avenida AndalucíaAvenida Andalucía

     

     

     

     

     

     

     

    Le hasard a voulu qu'ici aussi, comme à Ronda, une fête soit célébrée lors de notre passage ! Moros y Cristianos (Maures et Chrétiens) se fête dans toute l'Andalousie.

     La première nuit, nous dormirons ; pour la deuxième, c'est peu probable, José Manuel avait bien insisté lors de la réservation.

     Avenida AndalucíaAvenida Andalucía

     

     

     

     

     

     Barbecue et kebab font bon ménage ! Et partout, je mitraille...

     Avenida AndalucíaAvenida Andalucía

     

     

     

     

     

     

    Les festivités vont durer toute la deuxième nuit, on attendra en vain qu'elles cessent, pour dormir...

    Avenida Andalucía

     Avenida Andalucía

     Dans un paysage désertique, la route tortueuse de Mojacar à Carboneras.

     Avenida Andalucía

    San José, Cabo de Gata, plages désertes en ce dimanche matin, avant de retrouver Maria-José et ses parents à Berja.

    Avenida AndalucíaAvenida Andalucía

     

     

     

     

     

     

     

    Les oranges et les figues de barbarie de Juan.

     Avenida Andalucía

     Avenida Andalucía

     

    Et puis, au bout de cette longue Avenida Andalucía, retour à la case départ : les fruits du verger de Juan n'ont jamais été livrés en France aussi rapidement !

     

     " La vida tiene otro sabor

    Que viva España ! "

     


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  • C'était au cinéma de Saint Leu (Algérie) mon village natal, très probablement en 1955, c'était un film en noir et blanc, sorti en février ; je suis sûr de cette jeune année - loin, loin dans ma mémoire - puisqu'au printemps 1956 nous embarquions définitivement pour la France... 

    Mon premier film, mon premier cinéma...  et de celui-ci, seul me restait un lointain souvenir, le visage angélique d'un enfant...

    Je viens de le revoir, on le trouve sur DVD, toujours en noir et blanc... En fait, j'ai tout découvert de cette histoire, exceptée l'image ancrée de Marcelino...

     

    Ma première séance ou Marcelino à Saint Leu

     

    Mon jeune oncle qui ne devait avoir guère plus que nos deux âges cumulés - celui de Marcelino et le mien - m'avait pris avec lui (mes parents et grands-parents avaient dû lui faire confiance et puis nous habitions une autre époque) ; le titre de ce film avait dû l'intriguer...

    Film exceptionnel de tendresse, pour petits et grands, un récit poétique et profondément humain, à regarder au-delà de la religion. Bien qu'en noir et  blanc, les images baignent de lumière ; un très beau film ! Le fin fond de la Castille, une communauté de moines, un bébé abandonné devant leur porte... puis un enfant dont le souhait le plus cher est de "Voir maman qui est au ciel" ; le tout sous la houlette de Ladislao Vajda, réalisateur hongrois naturalisé espagnol en 1954.

    Primé à Cannes (on en sort !) avec une mention spéciale à l'enfant acteur (Pablito Calvo), à Berlin (Ours d'argent), on y découvre un Fernando Rey débutant.

    J'avais six ans... "T'en souviens-tu Marcel ?"

      

      Ma première séance ou Marcelino à Saint Leu

    Marcelino (Pablito Calvo) et son visage angélique

     

     

     


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  • En partance, et ça se rapproche... sur les traces d'Antonio Machado, de Federico Garcia Lorca... En partance pour l'Andalousie.

    Bailarán las morenas... y los morenos !1

    Si le cœur vous en dit...

     

    L'eau à la bouche... ou invitation au voyage.

     

    L'eau à la bouche...

     

    En partance pour Malaga puis descente vers le sud par le bord de mer et par Mijas, Fuengirola, Cala de Mijas (là, ne pas rater la Venta -auberge- La Butibamba),  Marbella, Estepona, Pueblo Nuevo de Guadiaro, petit village pour une petite pause. 

    Continuer sur Gibraltar (voir les macaques berbères, pardon britanniques !), Algeciras, Tarifa, Vejer de la frontera, El Puerto de Santa Maria et s'arrêter là, dans un hôtel près du port, se poser deux jours. En profiter pour aller voir la belle Cadiz, après une petite traversée vers l'autre côté de la baie. Cadiz, plus ancienne ville de notre monde occidental, Christophe y a levé plusieurs fois l'ancre... direction les Amériques.

     L'eau à la bouche... ou invitation au voyage.

     

    Et l'on se retourne par Jerez de la frontera, Arcos de la frontera, Villamartin, pour s'arrêter à Ronda, franchir sa gorge profonde par le Puente Nuevo, haut, haut. Nuit à Ronda.

     L'eau à la bouche... ou invitation au voyage.

     

    Toujours vers l'intérieur, continuons vers Campillos, Antequera ; étape à Loja, riche en fontaines et sources naturelles, mais aussi en cervezas2 ! 

    Pas de Séville, pas de Cordoue au programme de ce tour andalou, me direz-vous ; nous avons eu l'occasion de les apprécier toutes les deux, du temps où Cécile était Grenadine !

    Et oui, pas bien loin : Granada, au pied des neiges éternelles de la Sierra Nevada, " Granada, tierra soñada por mí "3, et là, on se pose : journée entière pour contempler l'Alhambra, ses palais, ses jardins, sa lumière, et on s'y repose, allez trois nuits ! Où boire un verre, où manger des tapas ?

    L'eau à la bouche... ou invitation au voyage.


    En route vers Guadix, Tabernas (ses déserts, de grands westerns tournés là et une liste interminable de stars du grand écran passées par là), Sorbas, Los Gallardos, Vera, Garrucha, Mojacar. Halte-là, deux jours !                                Allons à Bedar (village natal de la grand-mère maternelle), et profitons de Mojacar plage et surtout des festivités "Moros y Cristianos"4, le hasard aura voulu cette rencontre.

     L'eau à la bouche... ou invitation au voyage.

    L'eau à la bouche... ou invitation au voyage.

     

    Petite étape vers San José, toujours sur le bord de mer (plus sauvage celui-là), par Carboneras, Rodalquilar.

    Et pour presque finir, dimanche, à Berja, par Cabo de Gata, Nijar et Almeria.

    Là, à Berja près de Dalias et d'Adra, villages natals des grands-pères maternel et paternel, des amis espagnols nous attendent !                                         Et encore, après l'avoir fait à Bédar, je citerai Euripide (environ an 500 avant J.C.) : "Il n'existe de plus grande douleur au monde que la perte de sa terre natale."

    Après deux journées, c'est tristement, avec des larmes probablement, que nous quitterons mes terres ancestrales et nos amis.

    En ce dernier jour andalou, un dernier bout de côte : Adra, Motril, Nerja et à proximité Frigiliana et Torrox, petits villages blancs perchés et fleuris, puis Malaga et son aéroport, en fin de journée !

    L'eau à la bouche... ou invitation au voyage.

     

    On échange la voiture contre un avion, et on repart vers notre sud à nous... avec dans la valise, plein de chaudes images...

     

    L'eau à la bouche... ou invitation au voyage.

    1- Les brunes danseront... et les bruns (de "Baila morena", chanson)

    2- bières

    3- Grenade, terre rêvée pour moi (paroles chanson "Granada")

    4- Maures et Chrétiens (commémoration de l'affrontement entre les troupes musulmanes et chrétiennes au treizième siècle)


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  • C'est vrai, peu prolifique mon début d'année !

    01 janvier : mes vœux...

    11 janvier : vraiment forts minables...

    15 janvier : première étape de mon "Carreteras y ..."...

    31 mars    : très chers disparus de 2013...

    et c'est tout, et c'est pas beaucoup !

    Désolé de décevoir.

    Des cadrans (solaires ou autres) nous le rappellent : "Tempus fugit" !

    "Sed fugit interea tempus fugit irreparabile, dum singula amore capti circumvectamur", disait Virgile en l'an 284, ou pour éclaircir : "Mais en attendant, il fuit : le temps fuit sans retour, tandis que nous errons, prisonniers de notre amour du détail".

    Et oui, le temps nous glisse entre les doigts, le temps nous échappe...

    Cours toujours, tu ne le rattraperas point, le temps court et ne s'arrête jamais ! Mais penses-y !

     

     

    Mon mea culpa

     

     


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